mercredi 5 septembre 2007

Microstock tips and tricks

Les bonnes recettes.

Tout d’abord bien entendu faire des photos, et en préparer 3 comme « exemple».
Bien entendu, bonne qualité, « stock-oriented », ect …Chaque agence a des critères et des demandes un peu différentes. Evidemment l’idéal est de surfer au préalable sur chacune d’entre elle, pour se rendre compte de ce qui existe déjà (cf. un futur prochain article).
S’inscrire: soit remplir les formulaires, s’attendre à fournir 3 photos représentatives de …votre travail, ce que vous aimez. Preparez aussi un scan de votre carte d’identité, une photo numérique type d’identité (pour des raisons de sécurité relatif au paiement.

Là, la principale idée est de s’inscrire uniquement en anglais. D’abord c’est en anglais qu’elles fonctionnent toutes de manière optimum, normal : plus de client.
Ensuite, car c’est beaucoup plus simple de gérer une automatisation de toutes les métadonnées : titre, description, mots clefs une fois pour toute; et donc à travers une seule langue.

En fait, il suffit d’uploader 2 ou 3 fois même juste 5 photos pour se rendre compte que le temps passé ne sera jamais rentable si, tout est fait, à chaque fois, manuellement.
A contrario, une bonne organisation permet de gérer au mieux, et, au plus rapide tout un ensemble d’image.

L’optimum est de s’inscrire partout, et d’uploader régulièrement (même de petite quantité de photos) presque d’un seul geste dans toutes les agences. Ceci en utilisant le ftp, car une fois le dossier photo prêt, il suffit de changer les adresses ftp des différents serveurs.

Ensuite, les photos chargées sont déjà en grande partie indexée grâce aux IPTC qui permettent d’attacher des mots clefs, un titre, une description, un nom d’auteur à une image.
Plusieurs logiciels permettent de faire cela aisément.
Le problème de l’anglais se résout pas trop mal avec systram dont l’utilisation est gratuite, ou avec tout autre logiciel de traduction. Un gros avantage, cependant : au fil des jours l’on voit son vocabulaire d’anglais s’enrichir.
Il faut savoir qu’une fois tagé en anglais les images peuvent être déposés dans une dizaine de micro stock. Bien sûr, toutes ne seront pas acceptées partout …
Faire des séries aident aussi, puisque beaucoup de mots clefs peuvent correspondre.
Au début, c’est un poil la galère, puis les images s’accumulant on révise sérieusement et on enrichit son vocabulaire anglais (eh oui même avec le copier/coller).
En outre certains logiciels gardent en mémoire les mots clefs déjà inscrits, ce qui lorsqu’on manque d’inspiration est sérieusement cool.

Une fois les images dûment tagés elles sont prêtes à être envoyer. Comme je le disais la manière la plus simple et la plus efficace se déroule par Ftp.
Soit l’adresse commence par que vous copiez dans la barre d’adresse de votre navigateur et une fenêtre s’ouvre en vous proposant un glisser /déposer.
Soit il vous faut disposer d’un logiciel ftp
Vous tapez l’adresse pus le nom d’utilisateur que l’on vous a fournit et votre mot de passe.
Et vous faites tout vos uploads quasiment en 1 clic

Pour plusieurs microstock : 1,2,3rf, canstock et lucky oliver, il n’y a pas d’autres indexation sur le site à faire (sauf si téléchargement authorisation), il ne reste qu’à cliquer pour valider.
Sur Fotolia l’indexation des catégories n’est plus obligatoire.
Sur les autres, comme Dreamstime elles sont toujours présentes.

Je ne sais pas à quel point les catégories aident pour la recherche, mais c’est un poil long à indexer.

Là j’ai développer quelques conseils généraux, et principalement techniques « indexation » « upload » « choix de la langue » et sans aucun doute je n’ai pas tout détaillé, alors j’y reviendrai.
Je compte toutefois développer 2, ou 3 autres points comme comment choisir ses mots clefs et autres petits trucs qui finissent quand même par faire la différence.

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