vendredi 14 septembre 2007

Créer ses bannières

Parmi mon réseau de distributeur, Dreamstime, permet de créer des collections, autour d'un thème choisi librement par le contributeur ou le designer.
Cela permet de partager des images, des idées, même si celles-ci sont en ventes.

Ma collection de "Digital Background" est une collection orientée sur des arrières-plans à caractère technologique. Idéale, pour créer votre propre bannière...
3D people
© Photographer: Sophiesourit | Agency: Dreamstime.com
Voir la collection

jeudi 13 septembre 2007

Bannières, et Headers

Dernièrement pour aider un ami à réaliser un site web qui est bon allure, j'ai désesperement surfé pour trouver un "header" tout fait et sympa...
Il n'y en a quasiment aucun.
Des templates normal ou flash : on trouve... Un header tout simple et basique... je n'en ai pas vraiment trouvé .

Un autre jour en manque d'inspiration, j'en ai conçu quelques-uns.

Je les ai rassemblé là :

Voir les headers

Il sagit en fait d'une collection de "header" qui s'enrichit chaque jour ou presque, et qui contient non seulement mes créations mais aussi celle d'autres contributeurs participant à l'agence dreamstime.
Les images sont en assez haute résolution (version microstock), certaines sont disponible en format .eps (vecteur) et surtout: les bannières sont déjà en format panoramique, ce qui évite d'avoir à déformer l'image choisie.

Internet header
© Photographer: Sophiesourit | Agency: Dreamstime.com
Download for a low price
mais aussi:
Internet headerInternet headerInternet header

mardi 11 septembre 2007

Gagne-t-on de l'argent avec les microstocks?

Gagne-t-on vraiment de l’argent avec les microstocks ?On line shoppingDownload as low as 1$

Le site pdnonline répond à ce sujet assez clairement :
“Microstock producers had an average of $3,900 in 2006 stock income, although 501 of them (58% of all microstock respondents) reported earning less than $1,000 from stock sales last year.”

Le revenue issue des ventes de photos à travers les microstock a une moyenne de 3900 $/an bien que 58% des personnes interrogés ont déclaré leur revenue inférieur à 1000$ /an.
865 photographes ont été interrogés au sujet du revenu de leur « micro stock »
Cf de l’article :

Ce qui signifie en clair que 364 photographes sur 865 gagnent autour de 3900$/an.
A une moyenne de prix avoisinant les 1$/photo, cela fait un grand nombre de photos vendus.

Pars ailleurs surfant régulièrement depuis 2002 sur le web je constate que la consommation d’image est en hausse constante : dans les sites sur les blogs ect ….
Du reste, j’ai participé à l’aventure des micro stocks dès que j’en ai eu connaissance parce que j’ai trouvé l’initiative pertinente : les images que l’on souhaite diffusée sur le net n’ont pas la nécessité qualitative d’être produite avec du matériel coûteux.
Bon, quand j’ai constaté que certaine agence n’hésitait pas à proposer 0,2 cts de dollars, j’ai clairement évité car 10 ventes = 2 $ et, là ….
Toutefois, je me suis aussi inscrite dans des agences qui redistribuait à partir de 0,3 cts d’euros au photographe/photos vendu, et là j’ai constaté que le niveau des revenus n’était pas gravement inférieur à celui des autres agences. J’ai trouvé cela curieux, d’autant que j’ai vendu là ce qui ne se vendait pas ailleurs, alors …

Personnellement je ne vois pas un gros inconvénient à vendre des photos 1$ quand elles sont destinées à être publiées sur des blogs perso. Ces images permettent aux auteurs de blog sérieux d’accéder à une source d’image assez énorme aujourd’hui (certaines agences détiennent jusqu’à 2 millions d’images)à un prix très raisonnable. En fait les images apportent de vrai plus au blog, et de les avoir classer au sein d’une photothèque permet de les trouver rapidement et évite les longues heures de surf et pour 1 $ on évite l’illégalité.
Pour le photographe : 1$ ce n’est pas beaucoup, certes, mais les blogs sont très nombreux.

D’autant que certaines agence comme dreamstime ont passé des contrats avec la téléphonie mobile afin d’encourager l’accès des tous les individus disposant d’un téléphone portable au téléchargement d’image.

Toutefois je trouve cela plutôt gênant quand les images achetés 1$ illustre des catalogues de supermarchée et de façon générale des prints. En général le prix « print » est de 2$ mais là encore cela dépend des agences. A mon sens le print devrait être vendu plus cher. Idem pour le système des licences. Pour moins de 50$ on peut acheter une image comme une carte postale et la produire à 10000 exemplaires.


Toutefois, c’est un peu là où l’on voit les effets de la « mondialisation »…
En réalité, surfer sur les forums des microstocks est assez amusant. Sur les forums français, on se plaint beaucoup de la petitesse des prix, l’allusion aux « petits prix de vente » est quasiment présente dans tous les post. Sur les forums anglophones le prix est à peine mentionné…
On pourrait reconnaître là la « grogne » française, mais on oublierai d’évoquer que 1000$ n’a pas le même sens en roumanie, en Inde ou en France….
Ce qui m’amène à me demander : est-ce que les photographes de demain ne seront-ils pas tous issues des pays où le prix de la man d’œuvre est moins chères.
Evidemment cette question semble valable pour quasiment toutes les professions…


En tout cas le prix reste une considération importante pour ces agences. Depuis presque 2 ans que j’y participe, il ne se passent pas 6 mois sans qu’il y ait un changement quelques part : la grille tarifaire, les formats, ect …
Et ce qui me saute aux yeux, c’est que je gagne plus et que mon revenu/download augmente.
Et, là : qui aujourd’hui pour le même travail, les mêmes responsabilités gagnent plus aujourd’hui qu’hier ?
L’autre aspect est aussi : quel placement à quel montant et en combien de temps me fait-il gagner 1000 $ /an
.
Alors gagne-t-on vraiment de l’argent avec les microstocks ?
Oui un peu.
Un peu si l’on a un peu de photos. En général le format minimun est de 1200x1600 pixels, ce qui correspond aujourd’hui à quasiment tous les appareils photos. Il faut compter au moins 200 photo pour qu’il se passe quelque chose, mais on peut les mettre petit à petit.
Il y a pas mal de petits « trucs » pour que tout soit rapide : traitement de l’image/upload : je les développe petit à petit…et l’ensemble peut devenir gentiment rentable.
Certaines de mes images m’ont déjà rapporté plus de 100 euros, d’autres 10 alors plutôt que de les laisser traîner dans l’ordinateur….D’autant que rien n’est jamais totalement inscrit, certaines images ont mis de mois à se vendre, puis ont soudain connu une sorte de popularité (oh, hélas jamais très grande).
Le système des licenses aussi amène de jolies surprises. Sur une vente on peut gagner jusqu’à 25$ et ceci n’empêche pas d’autres ventes.
Le gain dépend aussi du style, de l’adéquation du faiseur d’image à la demande du marché. Il y a des créneaux meilleurs que d’autres.
Peut-on en vivre ? Personnellement je ne me risquerai pas à essayer. Pas seulement à cause du prix de vente, mais parce que les professions qui produisent des images me semble avoir un avenir incertain. Evolution des techniques, évolution du monde et des échanges…
Le présent me semble rencontrer une foule de situations inédites qui rendent très difficile l’analyse du futur en matière de production d’image.

Les microstocks auxquels je collabore :
Fotolia : multilangue
Dreamstime : anglais
1,2,3,rf : multilangue
Lucky oliver : anglais

mercredi 5 septembre 2007

Microstock tips and tricks

Les bonnes recettes.

Tout d’abord bien entendu faire des photos, et en préparer 3 comme « exemple».
Bien entendu, bonne qualité, « stock-oriented », ect …Chaque agence a des critères et des demandes un peu différentes. Evidemment l’idéal est de surfer au préalable sur chacune d’entre elle, pour se rendre compte de ce qui existe déjà (cf. un futur prochain article).
S’inscrire: soit remplir les formulaires, s’attendre à fournir 3 photos représentatives de …votre travail, ce que vous aimez. Preparez aussi un scan de votre carte d’identité, une photo numérique type d’identité (pour des raisons de sécurité relatif au paiement.

Là, la principale idée est de s’inscrire uniquement en anglais. D’abord c’est en anglais qu’elles fonctionnent toutes de manière optimum, normal : plus de client.
Ensuite, car c’est beaucoup plus simple de gérer une automatisation de toutes les métadonnées : titre, description, mots clefs une fois pour toute; et donc à travers une seule langue.

En fait, il suffit d’uploader 2 ou 3 fois même juste 5 photos pour se rendre compte que le temps passé ne sera jamais rentable si, tout est fait, à chaque fois, manuellement.
A contrario, une bonne organisation permet de gérer au mieux, et, au plus rapide tout un ensemble d’image.

L’optimum est de s’inscrire partout, et d’uploader régulièrement (même de petite quantité de photos) presque d’un seul geste dans toutes les agences. Ceci en utilisant le ftp, car une fois le dossier photo prêt, il suffit de changer les adresses ftp des différents serveurs.

Ensuite, les photos chargées sont déjà en grande partie indexée grâce aux IPTC qui permettent d’attacher des mots clefs, un titre, une description, un nom d’auteur à une image.
Plusieurs logiciels permettent de faire cela aisément.
Le problème de l’anglais se résout pas trop mal avec systram dont l’utilisation est gratuite, ou avec tout autre logiciel de traduction. Un gros avantage, cependant : au fil des jours l’on voit son vocabulaire d’anglais s’enrichir.
Il faut savoir qu’une fois tagé en anglais les images peuvent être déposés dans une dizaine de micro stock. Bien sûr, toutes ne seront pas acceptées partout …
Faire des séries aident aussi, puisque beaucoup de mots clefs peuvent correspondre.
Au début, c’est un poil la galère, puis les images s’accumulant on révise sérieusement et on enrichit son vocabulaire anglais (eh oui même avec le copier/coller).
En outre certains logiciels gardent en mémoire les mots clefs déjà inscrits, ce qui lorsqu’on manque d’inspiration est sérieusement cool.

Une fois les images dûment tagés elles sont prêtes à être envoyer. Comme je le disais la manière la plus simple et la plus efficace se déroule par Ftp.
Soit l’adresse commence par que vous copiez dans la barre d’adresse de votre navigateur et une fenêtre s’ouvre en vous proposant un glisser /déposer.
Soit il vous faut disposer d’un logiciel ftp
Vous tapez l’adresse pus le nom d’utilisateur que l’on vous a fournit et votre mot de passe.
Et vous faites tout vos uploads quasiment en 1 clic

Pour plusieurs microstock : 1,2,3rf, canstock et lucky oliver, il n’y a pas d’autres indexation sur le site à faire (sauf si téléchargement authorisation), il ne reste qu’à cliquer pour valider.
Sur Fotolia l’indexation des catégories n’est plus obligatoire.
Sur les autres, comme Dreamstime elles sont toujours présentes.

Je ne sais pas à quel point les catégories aident pour la recherche, mais c’est un poil long à indexer.

Là j’ai développer quelques conseils généraux, et principalement techniques « indexation » « upload » « choix de la langue » et sans aucun doute je n’ai pas tout détaillé, alors j’y reviendrai.
Je compte toutefois développer 2, ou 3 autres points comme comment choisir ses mots clefs et autres petits trucs qui finissent quand même par faire la différence.

Retour

J'ai de nombreuses morning walk à publier ...
Du nouveau du coté de Dreamstime : mise en place d'un espace blog où les contributeurs sont encouragés à s'exprimer ... De nombreux tutoriaux très interressant...entre autres articles sympas.

Inscription à Lucky Oliver, un microstock très sympa et très original. La validation des images est relativement rapide, mais surtout, le reviewer l'accompagne d'une note personnalisée et positive du genre: great work! Et plutôt que de voir ses images refusés pour des raisons évasives, il y a pour la plupart une proposition de correction. L'indexation se fait en anglais, mais c'est très rapide avec les sites de traduction.
Le design est assez original, mais ce qui l'est encore plus c'est le choix des images. Bien sûr on retrouve un peu celle que l'on trouve un peu partout ailleurs, mais il y a des choix qui me semble assez originaux et c'est tant mieux.

C'était bien les vacances :
Sailing
© Photographer: Sophiesourit Agency: Dreamstime.com>
Download

mardi 26 juin 2007

Morning walk 04

Total changement de décors et de genre et de tout ...


Morning walk04
Vidéo envoyée par baboophoto

vendredi 22 juin 2007

Morning walk 03 Ballade dans les Calanques

Ballade du matin donc...
Cette fois j'ai crée à partir des photos une petite animation (bah, comme dans l'ancien temps)

Morning walk 03
Vidéo envoyée par baboophoto

jeudi 21 juin 2007

Morning Walk 02 - Ballade dans les Calanques

Je ne cours donc pas le matin, mais je me ballade.
Voilà, donc quelques photos de ma ballade dans les Calanques.

Morning walk
Vidéo envoyée par baboophoto

mercredi 20 juin 2007

Morning walk

Ici commence la publication quotidienne de ma "morning walk".

Grâce à l'un de mes logiciels je peux rassembler plusieurs photos en une séquence video.

Morning walk, car c'est un peu comme d'aller faire son jogging quotidien que d'aller se promener tôt le matin pour faire des photos.
Une sorte de remède à une présence de plus en plus accru derrière l'écran de l'ordinateur.
Et surtout une petite dscipline pleinement revitalisante.
Petite ballade dans les rues de Marseille .... et oui, nous sommes en pleine ville...

Morning_walk_01
Vidéo envoyée par baboophoto

En parlant de photo...


Atthemeeting
Vidéo envoyée par baboophoto


Photomanipulation à partir de photos faites lors d'un meeting aérien dans le sud de la France .
La plupart de ces images sont disponibles à la vente ici et pour un micro-prix

En parlant de Marseille


Dernier match de foot de la saison ...

mardi 19 juin 2007

Expositions Marseille

2 expositions en cours dans la sympathique ville de Marseille, où je réside jusqu'à la fin du mois .

Du 18 juin au 02 juillet : Exposition "Tous citoyens, tous égaux"Expo collectiveBrasserie Las Danaïdes, 6 square Stalingrad, 13001 MARSEILLE

Du 18 juin au 16 juillet : Exposition "Marseille : Artisans et traditions"Des "Santons Carbonel" au "Four des navettes", du "Chantier naval Borg" à la "Savonnerie de la Licorne", ... Café de l'Abbaye, 3 rue d'Endoume, 13007 MARSEILLE

Beau temps, soleil et si douce chaleur si vous passez par là .....

Pour en savoir plus et voir de nombreuse photos qui concernent Marseille et la Provence : les photos d'Anne

Blog photo

Baboo photo est heureuse d'integrer Technocratie au sein de son blog.

De petite integration, en petit progrès au sujet de l'utilisation des blogs, j'espère pouvoir inclure un fil Rss très bientôt.

samedi 16 juin 2007

Fleur abstraite avec le flou radial

Filtre > atténuation > ...

Le super menu déroule tout un choix de filtre pour atténuer "flouter" de differente manière.
Ces filtres sont tous très interressant.


Ma démarche est de les étudier un par un, afin de mettre en valeur les différentes façons de les utiliser et les différents effets que l'on peut obtenir.

Je commencerai par l'un de mes favori : le flou radial .

Filtre>atténuation> flou radial

Comme apprendre, c'est pratiquer, voilà comment faire une fleur abstraite grâce au flou radial .
Ouvrez un nouveau document avec la taille que vous souhaitez.

Verifiez que les couleurs d'arrière-plan et d'avant plan soient bien sur noir et blanc ainsi:

Si ce n'est pas le cas soit appuyer sur le lettre D soit cliquer sur :


Voila .
Maintenant Filtre>Rendu>Nuages et vous devez obtenir
Vous pouvez recommencer l'opération Filtre>Nuages (tout en haut du menu) Ensuite Filtre>Pixellisation>Mezzo-tinto . Apliquez les réglages suivants:

Vous obtenez :
Ensuite Filtre>Atténuation >flou radial avec les réglages suivants .
Vous obtenez :
Là, vous dupliquez le calque, et désactiver l'oeil du calque original.

Menu Edition> transformation manuelle.

Avec les poignée de la "transformation" élargissez l'image de façon à ne retenir que le coeur de l'image.
Le résultat devrait donner à peu près cela :

Qui correspond dans ce cas ci à un aggrandissement de : en terme aritmétique. Bien entendu cela est à titre indicatif, la valeur de l'agrandissement est avant tout une affaire de goût .
Maintenant dupliquez le calque obtenu .
Menu Filtre> tourbillon , avec les valeurs suivantes :

soit un angle de 85°

vous obtenez : Passez le calque en mode éclaircir comme ici : vous devez obtenir : Revenez au calque précédent, dupliquez le et placer-le sur le dessus de la pile .

Menu Filtre>tourbillon cette fois avec une valeur de -115°
Passez le calque en mode éclaircir, vous devriez obtenir :
Maintenant, il ne reste plus qu'à donner un peu de couleur.

Afin de pouvoir modifier et remodifier les couleurs il faut préferer le menu calque au menu image. Ainsi Calque>Nouveau calque de réglage>teinte/saturation .
Ne pas cliquer sur la case du masque d'écrêtage afin d'appliquer la couleur à TOUS les calques.
2 exemples de valeurs obtenues en cochant la case redéfinir :
Résultat :



vendredi 13 avril 2007

Toujours au sujet des calques

…. Toujours au sujet des calques
…. Toujours niveau débutant (mais les expérimentés, cela arrive)

Le menu « calques » de photoshop peut sembler un peu désarmant. Le « calque » est un outil simple et extrêment puissant.
Le premier tutoriel avait pour objet de vous faire rentrer directement dans l’action, en cherchant à modifier des éléments simples de l’image.
Le pire étant que pour pas mal d’image, cela peut suffir.
Mais quelle tristesse…
Bref, connaître et comprendre au moins une partie des « calques », c’est commencer à pouvoir tester les possibilité de photoshop.
… Donc le « calque » est un outil simple et extrêment puissant.

« Créer un masque d’écrêtage »
C’est juste décider qu’un calque ne s’attribue qu’à un seul « calque »ou qu’il s’attribue à tous les calques. C’est la petite case à cocher qui change tout .

Il y a deux façons pour le créer. L'une à priori et l'autre à postériori.
En appliquant un calque de réglage à un calque particulier, il y a une petite case à cocher:
« créer un calque d’écrêtage », en la cochant on limite le réglage à un calque donné et non à tous les calques superposés.
Si on ne coche pas cette case on attribue le réglage à tous les calques qui sont sous ce nouveau calque.(Les calques sous photoshop s’empilent)
S on n’a pas coché cette case, on peut alors écrêter le calque à posteriori, en allant dans le menu Calques>Créer un masque d »écrêtage . Et par le menu calque> supprimer le masque d’écrêtage …. le masque d’écrêtage


En fait cela est surtout pratique lorsque l’on veut travailler sur des parties précises de l’image, ou lorsque que l’on veut adapter un élément à une image

mercredi 28 février 2007

Indexer ses photographies

Logiciels
Pour un rendement optimum avec les microstocks, le mieux est d’indexer ses photos une bonne fois pour toute.

On indexe grâce aux métadonnées.
Les « métadonnées » qui sont aussi nommé Exif et Iptc sont les informations relatives aux photos numériques.
D’un coté, les données « modifiables » qui ne sont rien d’autres que les données correspondantes à la prise de vue : diaphragme, vitesse, ect …, puis,d’autres données difficilement modifiable comme la date et l’heure à laquelle vous avez prise vos photos (faites gaffe) et qui sont inscrites à partir de l’horloge de l’appareil photo (toujours possible de modifier, avant la prise de vue).
Finalement, des informations complémentaires que le photographe, ou la personne qui traite les photos on jugé bon de rajouter : titre, description, auteur, mots clefs.
Pour beaucoup, ce type de possibilité constitue un gadget, pour d’autres, il est carrément vital.
…. Allez retrouver 1 photos parmi 200 000 stockées…. Sans aide, et sans y passer quelques heures (super méga chanceux), jours (hey , bien chanceux), semaines, mois années voir même ne jamais la retrouver, cette très chère …

En fait nul besoin de 200 000 clichés, quelques centaines suffisent à galérer…
Que l’on se rassure à beaucoup de gros problèmes, beaucoup de solutions …

L’une consiste à rajouter des méta-tags, ou des métadonnées, et là on entend : titre, description, auteur, mots-clefs, ect … soit en d’autres termes indexer ses photos. (Tous ces termes parlent à peu près de la même chose)

Et c’est pour inscrire ces informations de manière à la fois simple et rapide que je me suis mise à la recherche du logiciel miracle…

Il y a tout d’abord photshop .
Photoshop CS est presque parfait … sauf que le navigateur a des temps d’affichage un peu long, surtout avec les fichiers NEF et photoshop.
On peut indexer plusieurs données titre, copyright, lieu, description, ect … à plusieurs fichiers de même types à la fois. Ecrire les mots clefs m’a semblé plus malcommode : la fonction est là, certes, mais pas bien pratique.
Une autre façon existe pour indexer : Fichier > informations (tout en bas). Là photo par photo on peut modifier de façon confortable et aisée les fichiers iptc de ses photos.
Seulement voilà : photos par photos : c’est long.

En surfant j’ai trouvé exif manager.
Bon j’ai téléchargé … et je ne sais pas quoi en dire.
Cela semble méga simple pour renommer les photos par lot mais, cela ne me semble pas évident qu’il correspondre à ce que je recherche.
Bon, donc Exif manager souvent présenter comme la possibilité de gérer ces trucs se présente comme un logiciel simple, mais de façon simple et rapide j’ai eu l’impression qu’il ne me correspondait pas. Dans le sens, où je n’ai pas bien vu comment j’attribuais rapidement différent mots clefs à un lot d’image.
Je remets néanmoins l’analyse à plus tard, car il me semble en revanche renommer les fichiers de façons ultra-rapide.

Bref, en poursuivant mes investigations, j’ai jeté un coup d’œil à un logiciel dont j’entends parler depuis longtemps ACDSee gestionnaire de photo. Pour tout dire, il me semble que je l’ai testé il y a 2,3 ans, et qu’il ne m’a pas semblé correspondre à ce que je cherchais à ce moment là….
Dans ce cas : miracle : aujourd’hui, il semble exactement comme il faut .
J’ai téléchargé la version d’évaluation, donc, j’ai 30 jours pour m’en rendre compte.
Mais après 2, ou 3 heures j’ai « tagé » tout plein de photos super facilement, et il me reste à analyser les possibilités de classement et d’organisation….
L’affichage des images est rapide. Tous les formats sont visibles sous forme de vignette (y compris le format photoshop). On peut visionner une sélection sous forme de diaporama et accessoirement, il semble assez riche en fonctionnalité concernant la création de diaporama.

Il est cependant payant (moins de 50 euros), et si ses aptitudes aux classement des photos sont décrites comme méga-pratique, il y a 2, ou 3 points que je n’ai pas encore éclaircit (mais j'avais terriblement besoin d'indexer des photos).

Il fait partie des logiciels qui me semble le plus complet et sans doute pas dénuer d’intérêt si l’on est à la recherche d’un logiciel qui couvre une bonne part de l’organisation des photos.
En tout cas concerant l'indexation, il me semble quasiment parfait.

Je projette néanmoins de tester Irfan view qui semble souvent recommandé, et finir d’explorer les fonctionnalité d’acdsee.
N’hésiter pas à faire des commentaires : si cette rubrique a l’opportunité d’être un lieu d’échange : elle la prendra… à vos claviers…

lundi 26 février 2007

Rubrique : LOGICIELS

En fait de façon générale ce qui me surprend avec l'utilisation du numérique : c'est le temps. L'argent que je ne dépense plus "directement", est largement re-dépensé dans le temps que je passe sur les photos à les acquérir, éditer, travailler, classer imprimer.
Donc, le premier truc à chasser : c'est le temps perdu.
Pour chasser le temps perdu : il faut chercher des logiciels et … les installer, les faire fonctionner, comprendre qui ils sont, ce qu’ils font …

Parfois la pratique de l’image ressemble à un casse-tête.

D’un autre coté, certain logiciel permette la réalisation de photos qui dépassent franchement le seul cadre de la prise de vue, et ouvre des possibilités nouvellement accessibles pour celui que cela passionne ou tout simplement amuse.

J’ouvre donc un libellé ( ?), une rubrique ( ?) intitulée : LOGICIELS , qui me permettra de faire un compte rendu sur les logiciels que j’ai testé.


Pour être franche, cette rubrique est une gageure pour moi, car je suis diablement nulle dès qu’il s’agit de lire un mode d’emploi (entre autres…).
En outre on prend des habitudes et …. Parfois on s’y complait.
Se compliquer la vie…, se sentir malheureux, à plaindre ….
Heureusement de temps en temps, dans un sursaut : non ! Non, j’aime les images ? et alors ? est-ce une raison de passer des heures et des heures à classer, éditer, ordonner les photos , à accomplir des gestes fastidieux, des clics inutiles, des attentes derrière une mémoire qui rame ? Suis-je esclave ? Ai-je crée ma propre usine ?
Alors, je cesse de ressasser mon ressentiment à l’égard du renouveau du taylorisme, je sors de ma cahute et pars à la chasse aux logiciels, poussée par la nécessité et affamée de temps libre et libéré.
L’un dans l’autre, rien ne vaut les galères pour discerner quelques petits critères et voici les miens :
- mise en place rapide cad : téléchargement et installation en 2 clics (ou presque)
- intuitif : le logiciel a 5 minutes (allez jusqu’à 10) pour me dire ce qu’il sait faire et/ou comment je fais ce que je cherche à faire avec lui.

Mes point d’intérêts :
- panoramique (sous pas mal de forme)
- édition (comprendre aussi l’édition graphique)
- le classement, l’organisation de photos en « album » complexe qui me permettent de gérer au mieux mes différents centres d’intérêt qui se découpent en grand axe, puis en différentes multiplications qui se multiplient elle-même et … bref entre 2 et 300000 images (et c’est pas tant que ça…)

Les premiers articles concerneront les iptc/exif, ceux d'après le classement.
Les suivants : les panoramiques ,et là, ne pas hésiter à m’en suggérer, j’en ai testé quelques-uns mais il en existe une foultitude.

Microstock 2

J'ai commencé à aborder le sujet des microstocks. Micro = prix des images.

Pour le néophyte photographe qui commence à peine à s'interroger,est-ce interressant, ne l'est-ce pas ? il y a pas mal de petites choses à comprendre rapidement, sous peine de passer des heures, et des heures à faire des manips fastidieuses et de s'engager dans une démarche pas du tout lucrative.

Donc pour chasser le temps perdu quelques trucs :

- L'upload : FTP : moyen le plus rapide pour charger ses photos en ligne.

- L'indexation : là le travail doit être fait en amont .
L'intérêt majeur de vendre ses photos à bas prix est de les vendre plusieurs fois, donc de multiplier leur visibilités et de les télécharger dans le plus de site possible. Mais, quasiment chaque site demande une indexation par mots-cléfs et un classement par catégorie.
A mon sens le grand truc avec le numérique, c'est de compter à chaque fois le nombre de minutes accordés par traitement d'images, et là, à chaque fois il y en a pour 2 à 4 minutes par image. Bien, multipliez par une centaine d'image, que vous pouvez tenter de placer dans une dizaine de sites, et évoquez-vous intérieurement que toutes ne seront pas acceptés ... (mon taux "d'acceptation" tourne autour de 60-80% selon les agences)
Bref, sans méthode, c'est juste inninterressant. 100x10X3minutes = 3000 minutes soit 50 heures (presque 2 semaines de 35h)pour avoir environ 70 photos /sites.

Bref donc, il faut pour s'engager dans cette aventure un peu de méthode, sinon, c'est vite un gouffre temporel sans fond.
La première méthode consiste à indexer ses photos AVANT le téléchargement. Ce qui permet de le faire une fois pour toute... et de réduire le temps très considérablement, car il ne restera plus qu'à leur attribuer des catégories.
Pour le faire il faut utiliser un logiciel.

Les prochains articles sur le sujet entreront plus dans le détail de la préparation à l'indexation à partir de l'analyse de plusieurs logiciels qui permettent d'indexer ses photos. Je préfère écrire de petits articles...

Je sais que beaucoup savent déjà. Tant mieux...
J'ai testé pas mal de logiciels concernant les IPTC/Exif (en clair l'indexation de la photo), et j'en ai trouvé de très satisfaisant ... Toutefois, curiosité oblige, je serais ravie d'en découvrir de nouveaux.

J'espère apporter aux autres quelques-unes des réponses aux questions qu'ils se posent.

jeudi 22 février 2007

Masque de contraste

AMELIORER SIMPLEMENT ET EFFICACEMENT LE CONTRASTE DE VOS IMAGES ;
Certaines conditions de prises de vues sont assez déplorables. Et l’on se retrouve facilement avec une image peu contrastée et trop sombre pour rester lisible quand on utilise le calque de réglages luminosité contraste et /ou niveau.
Voilà, une petite solution pour améliorer les images victime de ce problème.

Image de départ



1) dupliquer le calque d’origine. Nommer le « calque contraste »
- note : c’est quoiqu’il arrive une bonne habitude de dupliquer le calque original et commencer tout travail en utilisant une copie.




Réglages> désaturer




3) Sur cette même copie : Image > Réglages> Négatif










C’est bizarre,( non ?) on se demande où je veux en venir…





4) Toujours sur le même calque aller dans réglage de la fusion : mettre le calque sur Incrustation
On commence à voir … l’image est nettement + claire mais sérieusement « granuleuse flou » ….

5) Toujours sur cette copie aller dans le menu Filtre> atténuation>flou gaussien (tiens un nouveau menu…) . Rechercher entre 90 et 250 le meilleur réglage …. Vous devriez voir les grains qui s’affinent sérieusement…


6) Ca va déjà nettement mieux, non ? mais l’image parait un peu fade ? Menu calque>Réglages> niveaux . Cocher la case créer un masque d’écrêtage /

et déplacer légèrement la languette noir vers la droite. Chercher le meilleur équilibrage.


7) Comparer à l’image d’origine (décocher la vue de calque contraste) … et c’est supposé être

mercredi 21 février 2007

Masque de fusion

…. Toujours au sujet des calques
…. Toujours niveau débutant

Le menu « calques » de photoshop peut sembler un peu désarmant. Le « calque » est un outil simple et extrêment puissant.
Le premier tutoriel avait pour objet de vous faire rentrer directement dans l’action, en cherchant à modifier des éléments simples de l’image.
Néanmoins, connaître et comprendre au moins une partie des « calques », c’est commencer à pouvoir tester les possibilité de photoshop.
… Donc le « calque » est un outil simple et extrêment puissant, qui permet de modifier l'image, de revenir en arrère ou de ne travailler que sur une partie de l'image.

Gros plan sur l'une des fonctions méga pratique du logiciel : « Créer un masque de fusion »

Pour l’utiliser : il faut dupliquer le calque sur lequel on travaille arrière plan > Arrière plan copie et le plus simple cliquez sur . L'îcone signifie : créer un masque de fusionCe qui donne :
Puis sur pinceau :

là vous pouvez choisir forme texture opacité, ect …( Si vous ne savez pas, commencez par un pinceau normal et variez sa dureté )


Ensuite cliquez sur :
Le blanc en bas et l’application du pinceau effacent le calque actif,



noir en bas et ce qui a été effacé réapparaît.

Attention si vous sélectionnez un autre calque et/ou outil, il vous faut supprimer le masque de de fusion en faisant au choix : soyez donc méthodique dans votre travail, en sachant toutefois que plusieurs essais sont souvent nécéssaire pour travailler son image.

apparaître > le masque de fusion le calque est tel que vous l’avez travaillé
supprimer > le masque ne tient aucun compte des dernières modifications

En cas d’erreur quoiqu’il arrive un petit menu anti-drame : historique.


Il est possible de revenir à des étapes antérieures de son travail d’un simple clic. Par defaut il affiche les 20 dernières actions que vous avez effectuées. Vour pouvez augmenter et/ou diminuer sa taille dans le menu Edition>Preference> XXX , justa attention à la mémoire et aux ressources nécessaires. Ne l’augmentez pas si votre image possède 70 calques par exemple.

Voilà, avec ces quelques petites notions, vous devriez être prêt à entrer dans l’action / on n’apprends jamais mieux que lorsque l’on cherche à faire quelque chose et qu’on le répète.