vendredi 14 septembre 2007

Créer ses bannières

Parmi mon réseau de distributeur, Dreamstime, permet de créer des collections, autour d'un thème choisi librement par le contributeur ou le designer.
Cela permet de partager des images, des idées, même si celles-ci sont en ventes.

Ma collection de "Digital Background" est une collection orientée sur des arrières-plans à caractère technologique. Idéale, pour créer votre propre bannière...
3D people
© Photographer: Sophiesourit | Agency: Dreamstime.com
Voir la collection

jeudi 13 septembre 2007

Bannières, et Headers

Dernièrement pour aider un ami à réaliser un site web qui est bon allure, j'ai désesperement surfé pour trouver un "header" tout fait et sympa...
Il n'y en a quasiment aucun.
Des templates normal ou flash : on trouve... Un header tout simple et basique... je n'en ai pas vraiment trouvé .

Un autre jour en manque d'inspiration, j'en ai conçu quelques-uns.

Je les ai rassemblé là :

Voir les headers

Il sagit en fait d'une collection de "header" qui s'enrichit chaque jour ou presque, et qui contient non seulement mes créations mais aussi celle d'autres contributeurs participant à l'agence dreamstime.
Les images sont en assez haute résolution (version microstock), certaines sont disponible en format .eps (vecteur) et surtout: les bannières sont déjà en format panoramique, ce qui évite d'avoir à déformer l'image choisie.

Internet header
© Photographer: Sophiesourit | Agency: Dreamstime.com
Download for a low price
mais aussi:
Internet headerInternet headerInternet header

mardi 11 septembre 2007

Gagne-t-on de l'argent avec les microstocks?

Gagne-t-on vraiment de l’argent avec les microstocks ?On line shoppingDownload as low as 1$

Le site pdnonline répond à ce sujet assez clairement :
“Microstock producers had an average of $3,900 in 2006 stock income, although 501 of them (58% of all microstock respondents) reported earning less than $1,000 from stock sales last year.”

Le revenue issue des ventes de photos à travers les microstock a une moyenne de 3900 $/an bien que 58% des personnes interrogés ont déclaré leur revenue inférieur à 1000$ /an.
865 photographes ont été interrogés au sujet du revenu de leur « micro stock »
Cf de l’article :

Ce qui signifie en clair que 364 photographes sur 865 gagnent autour de 3900$/an.
A une moyenne de prix avoisinant les 1$/photo, cela fait un grand nombre de photos vendus.

Pars ailleurs surfant régulièrement depuis 2002 sur le web je constate que la consommation d’image est en hausse constante : dans les sites sur les blogs ect ….
Du reste, j’ai participé à l’aventure des micro stocks dès que j’en ai eu connaissance parce que j’ai trouvé l’initiative pertinente : les images que l’on souhaite diffusée sur le net n’ont pas la nécessité qualitative d’être produite avec du matériel coûteux.
Bon, quand j’ai constaté que certaine agence n’hésitait pas à proposer 0,2 cts de dollars, j’ai clairement évité car 10 ventes = 2 $ et, là ….
Toutefois, je me suis aussi inscrite dans des agences qui redistribuait à partir de 0,3 cts d’euros au photographe/photos vendu, et là j’ai constaté que le niveau des revenus n’était pas gravement inférieur à celui des autres agences. J’ai trouvé cela curieux, d’autant que j’ai vendu là ce qui ne se vendait pas ailleurs, alors …

Personnellement je ne vois pas un gros inconvénient à vendre des photos 1$ quand elles sont destinées à être publiées sur des blogs perso. Ces images permettent aux auteurs de blog sérieux d’accéder à une source d’image assez énorme aujourd’hui (certaines agences détiennent jusqu’à 2 millions d’images)à un prix très raisonnable. En fait les images apportent de vrai plus au blog, et de les avoir classer au sein d’une photothèque permet de les trouver rapidement et évite les longues heures de surf et pour 1 $ on évite l’illégalité.
Pour le photographe : 1$ ce n’est pas beaucoup, certes, mais les blogs sont très nombreux.

D’autant que certaines agence comme dreamstime ont passé des contrats avec la téléphonie mobile afin d’encourager l’accès des tous les individus disposant d’un téléphone portable au téléchargement d’image.

Toutefois je trouve cela plutôt gênant quand les images achetés 1$ illustre des catalogues de supermarchée et de façon générale des prints. En général le prix « print » est de 2$ mais là encore cela dépend des agences. A mon sens le print devrait être vendu plus cher. Idem pour le système des licences. Pour moins de 50$ on peut acheter une image comme une carte postale et la produire à 10000 exemplaires.


Toutefois, c’est un peu là où l’on voit les effets de la « mondialisation »…
En réalité, surfer sur les forums des microstocks est assez amusant. Sur les forums français, on se plaint beaucoup de la petitesse des prix, l’allusion aux « petits prix de vente » est quasiment présente dans tous les post. Sur les forums anglophones le prix est à peine mentionné…
On pourrait reconnaître là la « grogne » française, mais on oublierai d’évoquer que 1000$ n’a pas le même sens en roumanie, en Inde ou en France….
Ce qui m’amène à me demander : est-ce que les photographes de demain ne seront-ils pas tous issues des pays où le prix de la man d’œuvre est moins chères.
Evidemment cette question semble valable pour quasiment toutes les professions…


En tout cas le prix reste une considération importante pour ces agences. Depuis presque 2 ans que j’y participe, il ne se passent pas 6 mois sans qu’il y ait un changement quelques part : la grille tarifaire, les formats, ect …
Et ce qui me saute aux yeux, c’est que je gagne plus et que mon revenu/download augmente.
Et, là : qui aujourd’hui pour le même travail, les mêmes responsabilités gagnent plus aujourd’hui qu’hier ?
L’autre aspect est aussi : quel placement à quel montant et en combien de temps me fait-il gagner 1000 $ /an
.
Alors gagne-t-on vraiment de l’argent avec les microstocks ?
Oui un peu.
Un peu si l’on a un peu de photos. En général le format minimun est de 1200x1600 pixels, ce qui correspond aujourd’hui à quasiment tous les appareils photos. Il faut compter au moins 200 photo pour qu’il se passe quelque chose, mais on peut les mettre petit à petit.
Il y a pas mal de petits « trucs » pour que tout soit rapide : traitement de l’image/upload : je les développe petit à petit…et l’ensemble peut devenir gentiment rentable.
Certaines de mes images m’ont déjà rapporté plus de 100 euros, d’autres 10 alors plutôt que de les laisser traîner dans l’ordinateur….D’autant que rien n’est jamais totalement inscrit, certaines images ont mis de mois à se vendre, puis ont soudain connu une sorte de popularité (oh, hélas jamais très grande).
Le système des licenses aussi amène de jolies surprises. Sur une vente on peut gagner jusqu’à 25$ et ceci n’empêche pas d’autres ventes.
Le gain dépend aussi du style, de l’adéquation du faiseur d’image à la demande du marché. Il y a des créneaux meilleurs que d’autres.
Peut-on en vivre ? Personnellement je ne me risquerai pas à essayer. Pas seulement à cause du prix de vente, mais parce que les professions qui produisent des images me semble avoir un avenir incertain. Evolution des techniques, évolution du monde et des échanges…
Le présent me semble rencontrer une foule de situations inédites qui rendent très difficile l’analyse du futur en matière de production d’image.

Les microstocks auxquels je collabore :
Fotolia : multilangue
Dreamstime : anglais
1,2,3,rf : multilangue
Lucky oliver : anglais

mercredi 5 septembre 2007

Microstock tips and tricks

Les bonnes recettes.

Tout d’abord bien entendu faire des photos, et en préparer 3 comme « exemple».
Bien entendu, bonne qualité, « stock-oriented », ect …Chaque agence a des critères et des demandes un peu différentes. Evidemment l’idéal est de surfer au préalable sur chacune d’entre elle, pour se rendre compte de ce qui existe déjà (cf. un futur prochain article).
S’inscrire: soit remplir les formulaires, s’attendre à fournir 3 photos représentatives de …votre travail, ce que vous aimez. Preparez aussi un scan de votre carte d’identité, une photo numérique type d’identité (pour des raisons de sécurité relatif au paiement.

Là, la principale idée est de s’inscrire uniquement en anglais. D’abord c’est en anglais qu’elles fonctionnent toutes de manière optimum, normal : plus de client.
Ensuite, car c’est beaucoup plus simple de gérer une automatisation de toutes les métadonnées : titre, description, mots clefs une fois pour toute; et donc à travers une seule langue.

En fait, il suffit d’uploader 2 ou 3 fois même juste 5 photos pour se rendre compte que le temps passé ne sera jamais rentable si, tout est fait, à chaque fois, manuellement.
A contrario, une bonne organisation permet de gérer au mieux, et, au plus rapide tout un ensemble d’image.

L’optimum est de s’inscrire partout, et d’uploader régulièrement (même de petite quantité de photos) presque d’un seul geste dans toutes les agences. Ceci en utilisant le ftp, car une fois le dossier photo prêt, il suffit de changer les adresses ftp des différents serveurs.

Ensuite, les photos chargées sont déjà en grande partie indexée grâce aux IPTC qui permettent d’attacher des mots clefs, un titre, une description, un nom d’auteur à une image.
Plusieurs logiciels permettent de faire cela aisément.
Le problème de l’anglais se résout pas trop mal avec systram dont l’utilisation est gratuite, ou avec tout autre logiciel de traduction. Un gros avantage, cependant : au fil des jours l’on voit son vocabulaire d’anglais s’enrichir.
Il faut savoir qu’une fois tagé en anglais les images peuvent être déposés dans une dizaine de micro stock. Bien sûr, toutes ne seront pas acceptées partout …
Faire des séries aident aussi, puisque beaucoup de mots clefs peuvent correspondre.
Au début, c’est un poil la galère, puis les images s’accumulant on révise sérieusement et on enrichit son vocabulaire anglais (eh oui même avec le copier/coller).
En outre certains logiciels gardent en mémoire les mots clefs déjà inscrits, ce qui lorsqu’on manque d’inspiration est sérieusement cool.

Une fois les images dûment tagés elles sont prêtes à être envoyer. Comme je le disais la manière la plus simple et la plus efficace se déroule par Ftp.
Soit l’adresse commence par que vous copiez dans la barre d’adresse de votre navigateur et une fenêtre s’ouvre en vous proposant un glisser /déposer.
Soit il vous faut disposer d’un logiciel ftp
Vous tapez l’adresse pus le nom d’utilisateur que l’on vous a fournit et votre mot de passe.
Et vous faites tout vos uploads quasiment en 1 clic

Pour plusieurs microstock : 1,2,3rf, canstock et lucky oliver, il n’y a pas d’autres indexation sur le site à faire (sauf si téléchargement authorisation), il ne reste qu’à cliquer pour valider.
Sur Fotolia l’indexation des catégories n’est plus obligatoire.
Sur les autres, comme Dreamstime elles sont toujours présentes.

Je ne sais pas à quel point les catégories aident pour la recherche, mais c’est un poil long à indexer.

Là j’ai développer quelques conseils généraux, et principalement techniques « indexation » « upload » « choix de la langue » et sans aucun doute je n’ai pas tout détaillé, alors j’y reviendrai.
Je compte toutefois développer 2, ou 3 autres points comme comment choisir ses mots clefs et autres petits trucs qui finissent quand même par faire la différence.

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J'ai de nombreuses morning walk à publier ...
Du nouveau du coté de Dreamstime : mise en place d'un espace blog où les contributeurs sont encouragés à s'exprimer ... De nombreux tutoriaux très interressant...entre autres articles sympas.

Inscription à Lucky Oliver, un microstock très sympa et très original. La validation des images est relativement rapide, mais surtout, le reviewer l'accompagne d'une note personnalisée et positive du genre: great work! Et plutôt que de voir ses images refusés pour des raisons évasives, il y a pour la plupart une proposition de correction. L'indexation se fait en anglais, mais c'est très rapide avec les sites de traduction.
Le design est assez original, mais ce qui l'est encore plus c'est le choix des images. Bien sûr on retrouve un peu celle que l'on trouve un peu partout ailleurs, mais il y a des choix qui me semble assez originaux et c'est tant mieux.

C'était bien les vacances :
Sailing
© Photographer: Sophiesourit Agency: Dreamstime.com>
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